Le château de Blois, tel qu'il peut être admiré de nos jours, est principalement constitué de trois ailes où se mêlent les styles gothique, Renaissance et Classique, même si des traces subsistent du château du Moyen Âge. This house should have been the first building in a large-scale reconstruction project. [6] The rear of the courtyard is where Mansart began this ambitious building project with a main dwelling house.
Aujourd'hui encore, des restaurations ciblées continuent. En 1571, l'amiral de Coligny y rentre dans les bonnes grâces de Charles IX et de la reine-mère. L'aile abrite une salle d'histoire du château et des salles destinées à des expositions temporaires et à des congrès. Le Régent lui a répondu qu’il voulait les sceaux et sa démission de la place de chancelier, ce que l’autre n’avait garde de faire. La galerie Charles d'Orléans, collée à la chapelle Saint-Calais, était autrefois deux fois plus longue, mais fut, comme la chapelle, détruite en partie au XVIIe siècle. Gilles Clément, paysagiste, a été chargé de travailler sur le parc. It is this library that formed the royal library and the backbone of the Bibliothèque nationale de France. [2] The room was used as a court of justice by the Counts of Blois and was used in 1576 and 1588 for the "États Généraux". Les 237 panneaux sculptés de candélabres à l'italienne datent des années 1520. Secondé par Jules de La Morandière, Duban s'inspire pour les décorations intérieures d'estampes d'époque et des travaux menés par l'érudit Louis de la Saussaye[18]. Elle est située à l'extrémité nord de l'aile François Ier. On avoit résolu dans ce tems-là de transférer le Parlement à Blois. Le château est ainsi visité par Victor Hugo, Honoré de Balzac, ou encore Alexandre Dumas. Ce dernier s'y installe en 1634. Sièges des institutions françaises et résidences officielles, « dans la forteresse de Blois, dans la cour, derrière le palais, près de la tour, au parterre situé entre les chambres à feu du palais », « beau et grand, fort et plantureux, un des [plus] beaux du royaume de France », « Rien ne m'est plus, plus ne m'est rien », « tout de neuf et tant somptueux que bien sembloit œuvre de roy », « un château qui n'est bon à rien et tout au plus à vendre », « un corps de logis au goût sobre qui est le goût pauvre ». Île-de-France : Palais Galliera, musée de la Mode de la ville de Paris • Musée des Monuments français • Musée de la chasse et de la nature • Musée Bourdelle • Musée de Montmartre • Musée d'Archéologie nationale • Le Musée du 11 Conti - Monnaie de Paris Le mur est orné d'une tapisserie représentant Pâris, le prince de Troie.
Côté cour, la façade est ornée de fenêtres à meneaux alternés de pilastres aux chapiteaux italianisants, qui croisent les moulures entre les étages. [3] After twenty-five years as a hostage in England, Charles d'Orleans returned to his beloved Blois and partly helped rebuild the chateau as a more commodious dwelling. During the December 1588 convention the king had his arch-enemy, Henry I, Duke of Guise assassinated. En 1572, un traité avec l'Angleterre y est signé et au mois d'avril sont célébrées dans la chapelle les fiançailles de Henri de Navarre (futur Henri IV) et Marguerite de France. Today, the château is owned by the town of Blois and is a tourist attraction. Les appartements royaux restaurés sont meublés et ornés de décors polychromes du XIXe siècle, créés par Félix Duban dans la lignée des restaurateurs contemporains de Viollet-le-Duc. [3] It became the favourite royal residence and the political capital of the kingdom under Charles' son, King Louis XII. Histoire et architecture Classé monument historique depuis 1845, le château royal de Blois présente un magnifique panorama de l'art et de l'histoire des châteaux de la Loire. La corniche au sommet de cette façade présente, superposés, une série de motifs de la première Renaissance. Le château est occupé par le successeur de Henri III, Henri IV, qui y séjourne en 1589, 1598 et 1599. On trouve dans cette salle plusieurs tableaux dont certains sont devenus célèbres : La salle du conseil à la cheminée monumentale ornée d'une salamandre dorée, réunit de riches meubles réalisés au XIXe siècle dans le style Renaissance, rappelant le luxe princier du XVIe siècle : La salle du conseil est également ornée de plusieurs statues, dont : La salle du conseil est également décorée de plusieurs tableaux, dont Un page, huile sur toile de Ferdinand Roybet.
Au revers de l'aile, accessible depuis la galerie de la Reine, se trouve la façade des Loges, construite à sept mètres en avant de l'ancienne courtine, caractérisée par une suite de niches non-communicantes. Île-de-France : Musée de l'Histoire de l'immigration • Aquarium du palais de la Porte-Dorée • Crypte archéologique de l'île de la Cité • Maison de Victor Hugo Driven from Paris during the French Wars of Religion, King Henry III lived at Blois and held the Estates-General convention there in 1576 and 1588. Occitanie : Musée des Augustins de Toulouse • Musée Toulouse-Lautrec • Les Abattoirs, Bourgogne-Franche-Comté : Muséum d'histoire naturelle de Dijon Un portique concave vient adoucir l'avant-corps central, avec ses colonnes cannelées (dont certaines néanmoins resteront inachevées après l'abandon des travaux). En 1598, celui-ci lance de nouvelles constructions au château, connues grâces à des dessins de Du Cerceau. Il édifie également la chapelle Saint-Calais. À la mort d'Henri IV en 1610, le château devient lieu d'exil pour sa veuve Marie de Médicis, et est habité par Richelieu, après un passage de Louis XIII et Anne d'Autriche en 1616.
La façade fut créée par Félix Duban et Jules de La Morandière en 1870.
Le cabinet des portraits contient des tableaux des XVIe et XVIIe siècles provenant des châteaux de Saint-Germain-Beaupré et de Beauregard : Madame de Noailles, le duc de Chevreuse, la Grande Mademoiselle, la duchesse de Beaufort, Anne d'Autriche ou encore Marie de Médicis d'après Rubens y sont visibles. De nombreux peintres historicistes du XIXe siècle ont été inspirés par l'assassinat du duc de Guise. Sacré roi de France, le fils de François Ier, Henri II, fait son entrée solennelle à Blois en août 1547, accompagné de « femmes nues montées sur des bœufs »[réf. L'état du château dans son ensemble est tel que sa démolition est même envisagée, jusqu'à ce que Napoléon Ier décide de le céder à la ville de Blois le 10 août 1810.
Le château de Blois, tel qu'il peut être admiré de nos jours, est principalement constitué de trois ailes où se mêlent les styles gothique, Renaissance et Classique, même si des traces subsistent du château du Moyen Âge. This house should have been the first building in a large-scale reconstruction project. [6] The rear of the courtyard is where Mansart began this ambitious building project with a main dwelling house.
Aujourd'hui encore, des restaurations ciblées continuent. En 1571, l'amiral de Coligny y rentre dans les bonnes grâces de Charles IX et de la reine-mère. L'aile abrite une salle d'histoire du château et des salles destinées à des expositions temporaires et à des congrès. Le Régent lui a répondu qu’il voulait les sceaux et sa démission de la place de chancelier, ce que l’autre n’avait garde de faire. La galerie Charles d'Orléans, collée à la chapelle Saint-Calais, était autrefois deux fois plus longue, mais fut, comme la chapelle, détruite en partie au XVIIe siècle. Gilles Clément, paysagiste, a été chargé de travailler sur le parc. It is this library that formed the royal library and the backbone of the Bibliothèque nationale de France. [2] The room was used as a court of justice by the Counts of Blois and was used in 1576 and 1588 for the "États Généraux". Les 237 panneaux sculptés de candélabres à l'italienne datent des années 1520. Secondé par Jules de La Morandière, Duban s'inspire pour les décorations intérieures d'estampes d'époque et des travaux menés par l'érudit Louis de la Saussaye[18]. Elle est située à l'extrémité nord de l'aile François Ier. On avoit résolu dans ce tems-là de transférer le Parlement à Blois. Le château est ainsi visité par Victor Hugo, Honoré de Balzac, ou encore Alexandre Dumas. Ce dernier s'y installe en 1634. Sièges des institutions françaises et résidences officielles, « dans la forteresse de Blois, dans la cour, derrière le palais, près de la tour, au parterre situé entre les chambres à feu du palais », « beau et grand, fort et plantureux, un des [plus] beaux du royaume de France », « Rien ne m'est plus, plus ne m'est rien », « tout de neuf et tant somptueux que bien sembloit œuvre de roy », « un château qui n'est bon à rien et tout au plus à vendre », « un corps de logis au goût sobre qui est le goût pauvre ». Île-de-France : Palais Galliera, musée de la Mode de la ville de Paris • Musée des Monuments français • Musée de la chasse et de la nature • Musée Bourdelle • Musée de Montmartre • Musée d'Archéologie nationale • Le Musée du 11 Conti - Monnaie de Paris Le mur est orné d'une tapisserie représentant Pâris, le prince de Troie.
Côté cour, la façade est ornée de fenêtres à meneaux alternés de pilastres aux chapiteaux italianisants, qui croisent les moulures entre les étages. [3] After twenty-five years as a hostage in England, Charles d'Orleans returned to his beloved Blois and partly helped rebuild the chateau as a more commodious dwelling. During the December 1588 convention the king had his arch-enemy, Henry I, Duke of Guise assassinated. En 1572, un traité avec l'Angleterre y est signé et au mois d'avril sont célébrées dans la chapelle les fiançailles de Henri de Navarre (futur Henri IV) et Marguerite de France. Today, the château is owned by the town of Blois and is a tourist attraction. Les appartements royaux restaurés sont meublés et ornés de décors polychromes du XIXe siècle, créés par Félix Duban dans la lignée des restaurateurs contemporains de Viollet-le-Duc. [3] It became the favourite royal residence and the political capital of the kingdom under Charles' son, King Louis XII. Histoire et architecture Classé monument historique depuis 1845, le château royal de Blois présente un magnifique panorama de l'art et de l'histoire des châteaux de la Loire. La corniche au sommet de cette façade présente, superposés, une série de motifs de la première Renaissance. Le château est occupé par le successeur de Henri III, Henri IV, qui y séjourne en 1589, 1598 et 1599. On trouve dans cette salle plusieurs tableaux dont certains sont devenus célèbres : La salle du conseil à la cheminée monumentale ornée d'une salamandre dorée, réunit de riches meubles réalisés au XIXe siècle dans le style Renaissance, rappelant le luxe princier du XVIe siècle : La salle du conseil est également ornée de plusieurs statues, dont : La salle du conseil est également décorée de plusieurs tableaux, dont Un page, huile sur toile de Ferdinand Roybet.
Au revers de l'aile, accessible depuis la galerie de la Reine, se trouve la façade des Loges, construite à sept mètres en avant de l'ancienne courtine, caractérisée par une suite de niches non-communicantes. Île-de-France : Musée de l'Histoire de l'immigration • Aquarium du palais de la Porte-Dorée • Crypte archéologique de l'île de la Cité • Maison de Victor Hugo Driven from Paris during the French Wars of Religion, King Henry III lived at Blois and held the Estates-General convention there in 1576 and 1588. Occitanie : Musée des Augustins de Toulouse • Musée Toulouse-Lautrec • Les Abattoirs, Bourgogne-Franche-Comté : Muséum d'histoire naturelle de Dijon Un portique concave vient adoucir l'avant-corps central, avec ses colonnes cannelées (dont certaines néanmoins resteront inachevées après l'abandon des travaux). En 1598, celui-ci lance de nouvelles constructions au château, connues grâces à des dessins de Du Cerceau. Il édifie également la chapelle Saint-Calais. À la mort d'Henri IV en 1610, le château devient lieu d'exil pour sa veuve Marie de Médicis, et est habité par Richelieu, après un passage de Louis XIII et Anne d'Autriche en 1616.
La façade fut créée par Félix Duban et Jules de La Morandière en 1870.
Le cabinet des portraits contient des tableaux des XVIe et XVIIe siècles provenant des châteaux de Saint-Germain-Beaupré et de Beauregard : Madame de Noailles, le duc de Chevreuse, la Grande Mademoiselle, la duchesse de Beaufort, Anne d'Autriche ou encore Marie de Médicis d'après Rubens y sont visibles. De nombreux peintres historicistes du XIXe siècle ont été inspirés par l'assassinat du duc de Guise. Sacré roi de France, le fils de François Ier, Henri II, fait son entrée solennelle à Blois en août 1547, accompagné de « femmes nues montées sur des bœufs »[réf. L'état du château dans son ensemble est tel que sa démolition est même envisagée, jusqu'à ce que Napoléon Ier décide de le céder à la ville de Blois le 10 août 1810.
Le château de Blois, tel qu'il peut être admiré de nos jours, est principalement constitué de trois ailes où se mêlent les styles gothique, Renaissance et Classique, même si des traces subsistent du château du Moyen Âge. This house should have been the first building in a large-scale reconstruction project. [6] The rear of the courtyard is where Mansart began this ambitious building project with a main dwelling house.
Aujourd'hui encore, des restaurations ciblées continuent. En 1571, l'amiral de Coligny y rentre dans les bonnes grâces de Charles IX et de la reine-mère. L'aile abrite une salle d'histoire du château et des salles destinées à des expositions temporaires et à des congrès. Le Régent lui a répondu qu’il voulait les sceaux et sa démission de la place de chancelier, ce que l’autre n’avait garde de faire. La galerie Charles d'Orléans, collée à la chapelle Saint-Calais, était autrefois deux fois plus longue, mais fut, comme la chapelle, détruite en partie au XVIIe siècle. Gilles Clément, paysagiste, a été chargé de travailler sur le parc. It is this library that formed the royal library and the backbone of the Bibliothèque nationale de France. [2] The room was used as a court of justice by the Counts of Blois and was used in 1576 and 1588 for the "États Généraux". Les 237 panneaux sculptés de candélabres à l'italienne datent des années 1520. Secondé par Jules de La Morandière, Duban s'inspire pour les décorations intérieures d'estampes d'époque et des travaux menés par l'érudit Louis de la Saussaye[18]. Elle est située à l'extrémité nord de l'aile François Ier. On avoit résolu dans ce tems-là de transférer le Parlement à Blois. Le château est ainsi visité par Victor Hugo, Honoré de Balzac, ou encore Alexandre Dumas. Ce dernier s'y installe en 1634. Sièges des institutions françaises et résidences officielles, « dans la forteresse de Blois, dans la cour, derrière le palais, près de la tour, au parterre situé entre les chambres à feu du palais », « beau et grand, fort et plantureux, un des [plus] beaux du royaume de France », « Rien ne m'est plus, plus ne m'est rien », « tout de neuf et tant somptueux que bien sembloit œuvre de roy », « un château qui n'est bon à rien et tout au plus à vendre », « un corps de logis au goût sobre qui est le goût pauvre ». Île-de-France : Palais Galliera, musée de la Mode de la ville de Paris • Musée des Monuments français • Musée de la chasse et de la nature • Musée Bourdelle • Musée de Montmartre • Musée d'Archéologie nationale • Le Musée du 11 Conti - Monnaie de Paris Le mur est orné d'une tapisserie représentant Pâris, le prince de Troie.
Côté cour, la façade est ornée de fenêtres à meneaux alternés de pilastres aux chapiteaux italianisants, qui croisent les moulures entre les étages. [3] After twenty-five years as a hostage in England, Charles d'Orleans returned to his beloved Blois and partly helped rebuild the chateau as a more commodious dwelling. During the December 1588 convention the king had his arch-enemy, Henry I, Duke of Guise assassinated. En 1572, un traité avec l'Angleterre y est signé et au mois d'avril sont célébrées dans la chapelle les fiançailles de Henri de Navarre (futur Henri IV) et Marguerite de France. Today, the château is owned by the town of Blois and is a tourist attraction. Les appartements royaux restaurés sont meublés et ornés de décors polychromes du XIXe siècle, créés par Félix Duban dans la lignée des restaurateurs contemporains de Viollet-le-Duc. [3] It became the favourite royal residence and the political capital of the kingdom under Charles' son, King Louis XII. Histoire et architecture Classé monument historique depuis 1845, le château royal de Blois présente un magnifique panorama de l'art et de l'histoire des châteaux de la Loire. La corniche au sommet de cette façade présente, superposés, une série de motifs de la première Renaissance. Le château est occupé par le successeur de Henri III, Henri IV, qui y séjourne en 1589, 1598 et 1599. On trouve dans cette salle plusieurs tableaux dont certains sont devenus célèbres : La salle du conseil à la cheminée monumentale ornée d'une salamandre dorée, réunit de riches meubles réalisés au XIXe siècle dans le style Renaissance, rappelant le luxe princier du XVIe siècle : La salle du conseil est également ornée de plusieurs statues, dont : La salle du conseil est également décorée de plusieurs tableaux, dont Un page, huile sur toile de Ferdinand Roybet.
Au revers de l'aile, accessible depuis la galerie de la Reine, se trouve la façade des Loges, construite à sept mètres en avant de l'ancienne courtine, caractérisée par une suite de niches non-communicantes. Île-de-France : Musée de l'Histoire de l'immigration • Aquarium du palais de la Porte-Dorée • Crypte archéologique de l'île de la Cité • Maison de Victor Hugo Driven from Paris during the French Wars of Religion, King Henry III lived at Blois and held the Estates-General convention there in 1576 and 1588. Occitanie : Musée des Augustins de Toulouse • Musée Toulouse-Lautrec • Les Abattoirs, Bourgogne-Franche-Comté : Muséum d'histoire naturelle de Dijon Un portique concave vient adoucir l'avant-corps central, avec ses colonnes cannelées (dont certaines néanmoins resteront inachevées après l'abandon des travaux). En 1598, celui-ci lance de nouvelles constructions au château, connues grâces à des dessins de Du Cerceau. Il édifie également la chapelle Saint-Calais. À la mort d'Henri IV en 1610, le château devient lieu d'exil pour sa veuve Marie de Médicis, et est habité par Richelieu, après un passage de Louis XIII et Anne d'Autriche en 1616.
La façade fut créée par Félix Duban et Jules de La Morandière en 1870.
Le cabinet des portraits contient des tableaux des XVIe et XVIIe siècles provenant des châteaux de Saint-Germain-Beaupré et de Beauregard : Madame de Noailles, le duc de Chevreuse, la Grande Mademoiselle, la duchesse de Beaufort, Anne d'Autriche ou encore Marie de Médicis d'après Rubens y sont visibles. De nombreux peintres historicistes du XIXe siècle ont été inspirés par l'assassinat du duc de Guise. Sacré roi de France, le fils de François Ier, Henri II, fait son entrée solennelle à Blois en août 1547, accompagné de « femmes nues montées sur des bœufs »[réf. L'état du château dans son ensemble est tel que sa démolition est même envisagée, jusqu'à ce que Napoléon Ier décide de le céder à la ville de Blois le 10 août 1810.
The medieval castle was purchased in 1391 by Louis I, Duke of Orléans, brother of Charles VI; after Louis' assassination, his widow, Valentina Visconti, retired to this castle at Blois. Most likely this room, the "chamber of secrets", had a much more banal purpose: exhibiting precious objects for guests. Même si seulement douze ans séparent la construction de l'aile François Ier de celle de l'aile Louis XII, l'inspiration italienne a non seulement influencé les motifs décoratifs, mais aussi l'agencement et la forme complète de l'édifice. Île-de-France : Musée du Château de Fontainebleau • Institut du monde arabe • Musée national des Arts asiatiques - Guimet • Galerie de Paléontologie et d'Anatomie comparée, Centre-Val-de-Loire : Château et musée de Blois Construite par le comte de Blois Thibaut VI en 1214 (la datation exacte a pu être établie grâce au procédé de dendrochronologie, effectué sur la charpente), la salle des États est la plus ancienne salle civile gothique de France[21], et un élément architectural marquant du gothique du XIIIe siècle. Le château est alors transformé en musée.
Le château de Blois, tel qu'il peut être admiré de nos jours, est principalement constitué de trois ailes où se mêlent les styles gothique, Renaissance et Classique, même si des traces subsistent du château du Moyen Âge. This house should have been the first building in a large-scale reconstruction project. [6] The rear of the courtyard is where Mansart began this ambitious building project with a main dwelling house.
Aujourd'hui encore, des restaurations ciblées continuent. En 1571, l'amiral de Coligny y rentre dans les bonnes grâces de Charles IX et de la reine-mère. L'aile abrite une salle d'histoire du château et des salles destinées à des expositions temporaires et à des congrès. Le Régent lui a répondu qu’il voulait les sceaux et sa démission de la place de chancelier, ce que l’autre n’avait garde de faire. La galerie Charles d'Orléans, collée à la chapelle Saint-Calais, était autrefois deux fois plus longue, mais fut, comme la chapelle, détruite en partie au XVIIe siècle. Gilles Clément, paysagiste, a été chargé de travailler sur le parc. It is this library that formed the royal library and the backbone of the Bibliothèque nationale de France. [2] The room was used as a court of justice by the Counts of Blois and was used in 1576 and 1588 for the "États Généraux". Les 237 panneaux sculptés de candélabres à l'italienne datent des années 1520. Secondé par Jules de La Morandière, Duban s'inspire pour les décorations intérieures d'estampes d'époque et des travaux menés par l'érudit Louis de la Saussaye[18]. Elle est située à l'extrémité nord de l'aile François Ier. On avoit résolu dans ce tems-là de transférer le Parlement à Blois. Le château est ainsi visité par Victor Hugo, Honoré de Balzac, ou encore Alexandre Dumas. Ce dernier s'y installe en 1634. Sièges des institutions françaises et résidences officielles, « dans la forteresse de Blois, dans la cour, derrière le palais, près de la tour, au parterre situé entre les chambres à feu du palais », « beau et grand, fort et plantureux, un des [plus] beaux du royaume de France », « Rien ne m'est plus, plus ne m'est rien », « tout de neuf et tant somptueux que bien sembloit œuvre de roy », « un château qui n'est bon à rien et tout au plus à vendre », « un corps de logis au goût sobre qui est le goût pauvre ». Île-de-France : Palais Galliera, musée de la Mode de la ville de Paris • Musée des Monuments français • Musée de la chasse et de la nature • Musée Bourdelle • Musée de Montmartre • Musée d'Archéologie nationale • Le Musée du 11 Conti - Monnaie de Paris Le mur est orné d'une tapisserie représentant Pâris, le prince de Troie.
Côté cour, la façade est ornée de fenêtres à meneaux alternés de pilastres aux chapiteaux italianisants, qui croisent les moulures entre les étages. [3] After twenty-five years as a hostage in England, Charles d'Orleans returned to his beloved Blois and partly helped rebuild the chateau as a more commodious dwelling. During the December 1588 convention the king had his arch-enemy, Henry I, Duke of Guise assassinated. En 1572, un traité avec l'Angleterre y est signé et au mois d'avril sont célébrées dans la chapelle les fiançailles de Henri de Navarre (futur Henri IV) et Marguerite de France. Today, the château is owned by the town of Blois and is a tourist attraction. Les appartements royaux restaurés sont meublés et ornés de décors polychromes du XIXe siècle, créés par Félix Duban dans la lignée des restaurateurs contemporains de Viollet-le-Duc. [3] It became the favourite royal residence and the political capital of the kingdom under Charles' son, King Louis XII. Histoire et architecture Classé monument historique depuis 1845, le château royal de Blois présente un magnifique panorama de l'art et de l'histoire des châteaux de la Loire. La corniche au sommet de cette façade présente, superposés, une série de motifs de la première Renaissance. Le château est occupé par le successeur de Henri III, Henri IV, qui y séjourne en 1589, 1598 et 1599. On trouve dans cette salle plusieurs tableaux dont certains sont devenus célèbres : La salle du conseil à la cheminée monumentale ornée d'une salamandre dorée, réunit de riches meubles réalisés au XIXe siècle dans le style Renaissance, rappelant le luxe princier du XVIe siècle : La salle du conseil est également ornée de plusieurs statues, dont : La salle du conseil est également décorée de plusieurs tableaux, dont Un page, huile sur toile de Ferdinand Roybet.
Au revers de l'aile, accessible depuis la galerie de la Reine, se trouve la façade des Loges, construite à sept mètres en avant de l'ancienne courtine, caractérisée par une suite de niches non-communicantes. Île-de-France : Musée de l'Histoire de l'immigration • Aquarium du palais de la Porte-Dorée • Crypte archéologique de l'île de la Cité • Maison de Victor Hugo Driven from Paris during the French Wars of Religion, King Henry III lived at Blois and held the Estates-General convention there in 1576 and 1588. Occitanie : Musée des Augustins de Toulouse • Musée Toulouse-Lautrec • Les Abattoirs, Bourgogne-Franche-Comté : Muséum d'histoire naturelle de Dijon Un portique concave vient adoucir l'avant-corps central, avec ses colonnes cannelées (dont certaines néanmoins resteront inachevées après l'abandon des travaux). En 1598, celui-ci lance de nouvelles constructions au château, connues grâces à des dessins de Du Cerceau. Il édifie également la chapelle Saint-Calais. À la mort d'Henri IV en 1610, le château devient lieu d'exil pour sa veuve Marie de Médicis, et est habité par Richelieu, après un passage de Louis XIII et Anne d'Autriche en 1616.
La façade fut créée par Félix Duban et Jules de La Morandière en 1870.
Le cabinet des portraits contient des tableaux des XVIe et XVIIe siècles provenant des châteaux de Saint-Germain-Beaupré et de Beauregard : Madame de Noailles, le duc de Chevreuse, la Grande Mademoiselle, la duchesse de Beaufort, Anne d'Autriche ou encore Marie de Médicis d'après Rubens y sont visibles. De nombreux peintres historicistes du XIXe siècle ont été inspirés par l'assassinat du duc de Guise. Sacré roi de France, le fils de François Ier, Henri II, fait son entrée solennelle à Blois en août 1547, accompagné de « femmes nues montées sur des bœufs »[réf. L'état du château dans son ensemble est tel que sa démolition est même envisagée, jusqu'à ce que Napoléon Ier décide de le céder à la ville de Blois le 10 août 1810.